Le bruit des cabarets, la fange des trottoirs,
Les platanes déchus s'effeuillant dans l'air noir,
L'omnibus, ouragan de ferraille et de boues,
Qui grince, mal assis entre ses quatres roues,
Et roule ses yeux verts et rouges lentement,
Les ouvriers allant au club, tout en fumant,
Leur brûle-gueule au nex des agents de police,
Toits qui dégouttent, murs suintants, pavé qui glisse,
Bitume défoncé, ruisseaux comblant l'égout,
Voilá ma route - avec le paradis au bout.
That's how Paul Verlaine would have described it, anyway.
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